BRC site du club:tout va bien madame la marquise!

bonjour je vais suivre de tres pres l'affaire du brc ,puisque je serai toute la semaine la bas,avec des collegues de l'est republicain,je vous tiendrai au courant deja je vous fait un article a suivre concernant le gouffre financier du brc<.

un gouffre financier ,criblé de dettes,au fil des semaines,on mesure mieux l'état des finances du besançon racing club,Un brefrappel s'impose pour mieux comprendre.Non seulement il manque 240.000 euros pour boucler la derniere saison,mais d'importantes créances existent pour un montant de 416.000 euros dont 224.000 euros sont dues par la société du president a savoir CREDITEC.Le reste proviendrat des objectifs non atteints par le pseudo club affaires aussi appelé ATOUT Foot
.Cela signifie en clair que sur environ 300.000 euros de sponsoring budgété seuls 100.000 euros ont été trouvés, ce qui correspond a l'engagement de ....CREDITEC sur les maillots du brc.Meme si un moratoire a été obtenu ,s'ajoutnt des dettes aupres des organismes sociaux(224;000 euros)des dettes fiscales pour un montant de 140.000 euros.A titre anecdotique le besançon racing club doit 40.000 a la societé GTV laquelle est en redressement judiciaire.On voit mal comment les joueurs bisontins pourront alors emprunter ce mode de locomotion pour se rendre a MARCK samedi rochain.Si le tableau n'est pas franchement reluisant ,il n'est malheureusement pas complet.Quand on lui demande si le brc rembourse actuellement un pret de la region franche comté de 90.000 euros vincent diaz répond bien sur ,cest simple au lieu de percevoir la totalité de la subvention annuelle 90% nous sont retirés.DES CAUTIONNAIRES ATTENTIFS Concernant un pret de 300.000 euros contracté aupres des banques et garanti par cinq cautionnaires dont vincent diaz jacques thiebaut(ancien président du bbcd) besançn basket comté vincnt diaz monte au creneau et declare Nous avons regularisé notre retard;Contrairement a ce que certains se plaisent a raconter,les choses se passent normalement.Concernant un probable depot de bilan,on rappellera que le président du club doit se rendre au tribunal de commerce ou le president prononcera la liquidation ou jugera qu'il est possible de sauver le club.Dans ce cas un plan de redressement sera mis en place par l'administrateur et le juge désignés.Certaines dettes seront alors éffacés.D autres étalée dans le temps

Eh dire qu'avec tout ça on nous dit que le championnat n'a pas été faussé......En tout cas on s'est bien lincher sur leur forum mais ça sentait tout de même la fin du club depuis tout leur probleme!!!!!!!J'espere juste que cette situation ne nous arrivera pas.
ALLEZ FCM

besançon.S'il ne sert jamais a grand chose de refaire l'histoire, comment dans le cas précis du brc éviter de se pencher sur les dix dernieres années.Deux conclusionss'imposent au terme d'un parcours chaotique pour ne pas dire anarchique.D'une part tous ceux qui ont assumé la présidence ont été des présidents....par defaut.Rien ne les predispoait a occuper un jour cette fonction.A commencer par le genereux et pittoresque GIL SAULNIER qui sut convaincre habilement MAURICE GRANGEY,le président de la caisse du crédit agricole de prendre les rennes du BRC.Que dire de l'arrivée de l'inattendu et inconnu CLAUDE COURGEY suivi par VINCENT DIAZ qui oeuvrait dans l'ombre du club depuis vingt cinq ans.Sns vouloir diminuer les mérites et l'integralité de tous ces hommes courageux et passionnés,il faut bien reconnaitre que le football n'est plus quelque chose que l'on apprend sur le tas et en l'espace de quelques mois seulement.Contrairement a une idée répandue , un club ne se dirigera jamais comme une entreprise,sauf au plan purement comptable s'entend.Chacun de ces présidents a payé cher un apprentissage parfois difficile,sans oubliée que jamais une succession n'a été préparéé.Or personne n'ignore que gouverner,c'est d'abord prévoir.Leur plus grand tort a été de ne pas resister a la tentation de fabriquer des budgetsprévisionnels impossible a tenir en esperant qu'une montée providentiele viendrait gommer cette petite prise de risque.LE RACING a toujours souffert de querelles intestines d'un manque de renouvellement de dirigeants et d'une asence de arge de manoeuvre permettant d'évoluer sereinemet.Quand le BRC a accédé par hasard en ligue2 avec le douzieme budget du NATIONAL on apprenait que tout autre scénario aurait provoqué le...dépot de bilan ,tant le défiçit était élevé.Une situation qui n'est finalement pas tres éloignée de celle qe l'on connait aujourd'huiC'est triste.C'est un immense gachis.Mais nous sommes prets a parier que de nouveaux dirigeants vont se lever(ils l'ignorent peut etre encore eux memes)pour reprendre le sceptre et surtout ne pas laisser orphelins les 550 licenciés du club.Tout recommencera un jour ou l'autre, en cfa2 ou en dh.Reste a esperer a esperer que meme si le football rend fou ,ces hommes nouveaux sauront raison garder.

Je trouvais, en fin de saison dernière que l'enthousiasme de la remontée en National des joueurs lors des derniers matchs semblait moyen.Cela se comprends....
Mais la leçon du BRC est qu'une bonne gestion est tres importante.Le FCM ,le passé proche nous le rappelle ,doit bien en prendre conscience !
C'est dommage qu'une ville de +/- meme gabarit que Mulhouse doit subir ces avanies,alors que tant de "bleds" sont plus haut dans la hiérarchie du foot français.
L'ex RCFC a été 41 saisons en ligue 2,se qui est le record.Le foot pro a une histoire là bas.
Quoique Besançon fait partie des ses grandes villes qui n'ont jamais connu la L1.

J'espère que Monsieur Dreyfus est un meilleur gestionnaire que Monsieur Diaz...

Ca m'embête de la dire, mais force est de reconnaitre que - pour une fois - la DNCG avait fait preuve de discernement.

<< DE QUI SE MOQUE-T'ON>> Visages fermés,atmosphere pesante,il flottait un parfum de fin de régne au siege du brc.D'autant plus pesant que personne n'a revu le président depuis une dizaine de jours.Un président qui nous confiait il y a deux jours <> <